Y a-t-il un autre savoir que celui de la science, un savoir salutaire car seul capable de préserver voire renforcer notre être vis à vis de sa négation en cours ?
Ce savoir autre nous resterait cependant inconnu si ne venaient pas en témoigner pour nous depuis la nuit des temps : l'art, la poésie et la pensée — et plus radicalement la parole en tant que telle.
Qu'en est-il de cet autre savoir dont l'énigme provoque l'étonnement du poète :
Car n'est-ce pas "poétiquement que l'homme habite sur cette terre" ?